Si la météo exceptionnelle de septembre a prolongé les bienfaits de nos vacances, nous rentrons désormais de plain-pied dans l’automne. Certains d’entre vous en ressentiront peut-être une certaine lassitude. Si elle se traduit par une irritation exacerbée sur votre lieu de travail, voici ce qui peut vous aider à passer malgré tout une bonne journée.

Les accords toltèques agissent comme stratégie d’évitement

•       du conflit

•       de la rumination mentale

•       du sentiment de culpabilité

La vie au travail est vécue parfois comme un exercice de jonglage délicat entre les exigences professionnelles, la quête de bien-être personnel et l’état d’esprit de vos collègues qui ont aussi leur lot de petits tracas. Voyons comment les appliquer dans votre vie professionnelle peut créer un environnement de travail plus positif, équilibré et productif.

Accord 1 : Que votre parole soit impeccable

Cela revient au principe de précaution enseigné autrefois : tourne ta langue sept fois dans ta bouche avant de parler. Cela évite souvent d’émettre des propos que l’on regrette. Adoptez une communication claire et honnête, car il ne s’agit pas non plus de vous renier. Mais l’idée est d’éviter au maximum d’exprimer des jugements ou des critiques.

Cela vaut aussi pour vous-même : ne vous autocritiquez pas et assumez simplement la responsabilité de vos actions.

N’oubliez pas d’appliquer le précepte à vos écrits : n’écrivez pas sous le coup de la colère, cliquez sur la touche d’envoi d’un mail uniquement si vous êtes certain du professionnalisme de vos propos. Les écrits restent. Imaginez ce qui arriverait si un mail écrit sous le coup de la colère atterrissait dans votre dossier professionnel ?

Accord 2 : Ne prenez rien personnellement

Vos collègues, vos supérieurs, vos salariés peuvent avoir mal dormi, ressasser un vieux contentieux, avoir eu une conversation désagréable avec quelqu’un, et voilà que vous en faites les frais, volontairement ou non. N’en faites pas une affaire personnelle.

Ne laissez pas les commentaires négatifs vous affecter. Ils ne vous concernent peut-être même pas. Gardez à l’esprit que les opinions des autres à votre sujet ne reflètent pas nécessairement votre valeur, et maintenez votre concentration sur vos objectifs professionnels.

Accord 3 : Ne faites pas de supposition

La communication claire est cruciale pour éviter les malentendus au travail. Les autres interprètent les événements et les dossiers avec leur propre prisme. Il peut être très différent du vôtre.

Les autres ne sont pas dans votre tête et ne peuvent pas lire directement vos pensées. L’idéal est d’exprimer clairement vos idées. Ne supposez pas qu’on pense comme vous, ne supposez pas qu’on vous ait bien compris, ne supposez pas que quelqu’un va agir comme vous le pensez. Posez des questions, clarifiez les faits, les attentes, en favorisant la transparence dans les projets, et en garantissant que chaque membre de l’équipe est sur la même longueur d’onde.

Accord 4 : Faites toujours de votre mieux

Poursuivre l’excellence au travail est noble, mais ne laissez pas la recherche de la perfection vous épuiser. Cet accord est un appel à faire de son mieux à l’instant T, avec votre niveau d’énergie du moment, vos connaissances, la difficulté du sujet, le temps et le budget qui vous sont impartis, etc.

C’est aussi un appel à faire de son mieux pour maintenir un équilibre professionnel et privé. Fixez-vous mentalement une petite liste de choses à faire dans la gestion d’un dossier ou d’une situation. Si vous avez fait de votre mieux avec ce que vous aviez, alors ne vous sentez coupable de rien.     

Les accords toltèques sont basés sur la sagesse ancienne des Toltèques, une civilisation précolombienne qui a prospéré dans ce qui est maintenant le Mexique, entre le Xe et le XIIe siècle. Cependant, les enseignements des accords toltèques tels que nous les connaissons aujourd’hui sont principalement associés à l’œuvre publiée en 1997 par Don Miguel Ruiz, un auteur mexicain contemporain.

Les accords sont destinés au plus grand nombre et d’une portée générale. Il requièrent également un entrainement de l’esprit pour en éprouver les bénéfices. S’ils ne suffisent pas à améliorer votre situation personnelle, peut-être ressentez-vous le besoin de vous faire accompagner sur la voie du mieux-être au travail ?

Je suis à votre disposition pour en discuter avec vous.

Votre image fait partie de votre personal branding

Comment bien vous vendre si vous ne vous connaissez pas bien ? Il est difficile d’être juge et partie. Votre coach est là pour ça. Je vous raconte :

«  Un jour, Victor, l’un de mes clients qui était venu me consulter pour la création de son logo et de ses outils de communication, a décidé d’emblée de s’inscrire dans la formule contenant le coaching préalable. Il me raconte les raisons de sa décision.

Son business plan était parfait, les bureaux étaient prêts, bref tout se présentait sous les meilleurs auspices. Débutant sa carrière d’entrepreneur, Victor voulait se présenter au mieux pour son premier jour de travail et devait procéder à une séance photo pour illustrer son site web et ses réseaux sociaux.

Il s’achète une tenue vestimentaire adéquate, se fait raser chez le barbier, se fait faire une nouvelle coupe de cheveux pour paraître sérieux et dynamique. Puis il se rend chez un photographe professionnel dont les travaux sont remarquables. Victor avait investi une somme importante dans toute cette préparation et tout correspondait à l’idée qu’il voulait donner de lui-même. Pourtant quelque chose clochait dans les photos. Elles cochaient toutes les cases de réussite, mais Victor ne se reconnaissait pas dans ce reflet. Son sourire était figé et manquait de naturel.

Impossible de trouver ce qui n’allait pas. Il s’apprêtait à acheter d’autres vêtements qui lui iraient peut-être mieux, et ce budget commençait à lui peser. Il ne voulait pas commettre la même erreur avec ses outils de communication. Il était persuadé que s’il était accompagné, il ferait l’économie de ses erreurs.

Le coaching mit en évidence deux traits de caractère de Victor : sa générosité et son grand sens de l’humour. Il n’osait pas les assumer dans sa posture de chef d’entreprise. Il prit également conscience qu’il n’aimait pas ses lunettes, et qu’elles n’allaitent ni avec son look ni avec son image. Elles étaient la cause principale de son air triste et rébarbatif. Mais cela ne lui avait pas sauté aux yeux, si l’on peut dire. Parce qu’il ne savait pas où regarder.

Victor n’a pas eu besoin de beaucoup de séances de coaching pour apprendre à intégrer et valoriser ses traits de caractère, et comprendre comment en faire une force sur laquelle s’appuyer pour se distinguer de ses concurrents. J’ai pu alors créer une identité visuelle qui, tout en véhiculant un grand professionnalisme et une solide expertise, mettait en valeur sa vraie personnalité. Généreuse et joyeuse !

Il a ensuite changé de lunettes et refait une séance photo du « vrai » Victor.

Aujourd’hui il est fier de son logo, des couleurs de sa charte graphique et des visuels choisis spécialement pour son activité et sa personnalité profonde. Il regarde aussi avec plaisir ses photos officielles publiées sur les réseaux sociaux.

Sa vraie personnalité est alignée avec le chef d’entreprise qu’il est. L’histoire ne s’arrête pas là. Victor est tellement « bien dans sa peau » qu’il se sent parfaitement légitime et détendu dans sa posture professionnelle et les rendez-vous avec des clients intéressants se font de plus en plus nombreux. Il a dépassé de 20 % les chiffres de son business plan dès sa deuxième année d’activité. »